Il est là assis prêt de la fenêtre.
Dans ce tram si quelconque.
Il est là pensif avec lui même.
Regardant au loin le paysage de la vie qui défile.
Face à lui même et à ce reflet.
L’image de lui dans la vitre le rend pensif, fragile, hésitant.
De cette facette qui apparait.
De cette simplicité latente et pourtant inconnue jusqu’alors.



J’aime bien ton blog, les morceaux de vie, l’arrêt du temps symbolisé par l’image.
Ici c’est le tram parisien ? Ou lyonnais ?